Collection Zone Rouge. La Vérité N’Est Pas Toujours Bonne À Entendre (1/2)

• Non, maman, n’insiste pas, je ne te dirais pas le nom du père de l’ que j’attends, la seule chose que je peux te dire, c’est que c’est le soir de mes dix-huit ans, quand je suis sortie avec Léa que j’ai fait l’amour.

Comment dire à maman, que c’est lors d’une partouze que je me suis fait prendre mes pucelages, après un pari avec Léa qu’elle avait gagnée, j’ai été obligé de la suivre dans ses débordements ?
Mes pucelages, car dans cette partouze, qui se tenait dans un castel du même type que celui de mes parents, je me suis fait baiser et sodomiser.
Il faut dire que pour pouvoir franchir le pas, l’alcool et les joints que j’avais fumés, m’avait mise dans un état second, bien que je me souvienne d’une grande partie des choses.
Le moment où l’on m’a prise en double pénétration et l’un de ceux-là, même si j’ignore qui me sodomisait, je m’en fichais, j’ai eu une petite douleur au début, mais rapidement la jouissance et les orgasmes l’ont supplanté.

• Si tu ne veux pas me parler, le curé que je t’emmène voir, réussira peut-être à te faire entendre raison, au minimum, il t’absoudra de ton péché.

Le jeune curé, celui qui remplace le père François pendant quelques semaines, le curé François qui vient depuis des années prendre le dessert les dimanches après la messe et qui est le confesseur de ma mère, au plus loin que je me souvienne.

• J’accepte de le rencontrer, comme je te l’ai dit à la maison devant papa, mais tu restes dans la voiture à m’attendre, sinon fais demi-tour.
• Je vais respecter ma parole, bien que cela me coûte, Virginie !

J’entre dans le presbytère, le père Luc m’attend.

• Bonjour, je t’attendais, nous sommes dans la mouise, si j’étais sûr que ton est de moi, je quitterais la prêtrise et je t’épouserais, mais dans la situation où nous étions, j’hésite.

J’ai dit que dans mon délire, je me souvenais de certaines choses faites ce soir-là, la présence de notre jeune curé en fait partie, je sais que c’est lui qui a été le premier à me déflorer, mais j’avais posé moi-même sa capote après la fellation que je lui avais faite.



• Je ne sais pas si tu ais au courant, c’est ta copine Léa qui m’a fait venir en accord avec sa copine qui recevait, ce devait être une veillée, mais qui a rapidement dégénéré m’entraînant moi-même.
Attention, je ne dis pas que j’étais vierge moi aussi, j’ai eu une vie sexuelle avant cette soirée, mais la jeune fille que j’aimais m’ayant trompé, pour me punir de ne pas avoir été à la hauteur, je suis entré au séminaire.
Votre commune de la Sarthe est la première que je fais en remplacement de votre curé malade et quand le tourbillon a démarré, je me suis revu quelques années avant, tu étais là et c’est toi que j’ai prise en premier.
• Pourquoi Léa a pensé te faire venir ?
• Par vice certainement, une partie des choses s'est faite lors de sa confession, je ne peux t’en dire qu’un minimum, nous parlions de l’être aimé, et je lui ai parlé de Sonia, c’était le nom de celle qui m’a trompé.
Elle savait que je n’étais plus puceau et quand quelques jours plus tard, elles sont venues avec Cloé m’inviter, j’ignorais qu’elle avait fomenté alcool, joints et partouze.
Le reste, tu le sais, tu y étais, certainement entraîné par Léa.
• La seule chose que j’ignore, c’est comment je me suis retrouvée enceinte, j’ai bien entendu un moment une voix d’homme dire « merde ma capote ».
Je venais de reprendre un joint et l’orgasme que la bite que j’avais dans la chatte alors que j’étais en levrette m’a empêché de chercher plus loin.
• Je n’ai jamais menti, je dois être franc, celui qui te prenait en levrette et qui a craqué sa capote au moment de jouir, c’était moi, mais j’étais aussi décalé que toi et je ne m’en suis pas plus inquiété que cela, de toute façon, à voir ton état, le mal était fait.
Dis-moi, regarde, à parler de baise, tu me fais bander autant que j’ai bandé pour toi ce soir-là, j’ai baisé plusieurs filles dans la soirée, mais je revenais systématiquement vers toi, j’aimerais le refaire.


C’est comme cela qu’il ouvre sa braguette, n’étant pas en soutane, ni en confession, simplement en propos libre et que je le suce, je me mets à genoux sur la chaise voisine de la sienne, nous sommes en été, il soulève ma jupe, simplement en écartant ma culotte d’une main alors qu’il se sert de l’autre pour l’aider à entrer.
Depuis la soirée où je m’étais fait dépuceler et où je me suis retrouvé enceinte, je suis restée sage et son sceptre en moi, déclenche un orgasme, il me bâillonne avec sa main libre, l’autre me tirant les cheveux, certainement de peur que maman m’entende mes cris.
La chaleur est-elle, qu’aussi bien dans le presbytère où nous sommes en eau, elle a pu sortir de la voiture et être assez prêt pour m’entendre, c’est avec délice que je sens le fond de mon vagin et bébé recevoir sa pluie de sperme, il se penche et nos bouches se soudent.

• Viens te nettoyer, je te raccompagne à ta voiture, je saluerais ta mère, il va de soi que cette conversation n’a pas eu lieu, mais je crois qu’elle a quelque chose à te révéler !

Je suis intrigué satisfait d’avoir retrouvé sa bite en moi, j’ai presque envie de hurler à ma mère qui descend de la voiture quand elle nous voit, que je suis la femme la plus heureuse du monde, mais j’ai promis de me taire.
Surtout que Luc, dit quelque chose à ma mère qui m’interpelle.

• Madame, n’oubliez pas ce que vous m’avez dit l’autre dimanche quand je suis venu prendre le dessert comme le fait le père François !

J’ignorais qu’il avait rencontré mère, ce devait être quand j’étais allé soigner la grippe de grand-mère chez qui j’ai dormi pendant trois jours.

• Non, je ne l’ai pas encore fait, l’état de Virginie étant le plus important.
• J’ai peut-être une solution, autre que l’avortement, vous savez que comme vous, j’y suis opposé, mais je vous en supplie révélez-lui la vérité sur ce qu’elle ignore et que vous m’avez confié.
• De quoi, parlez-vous, vous êtes bien mystérieux.

• Monte, je vais tout te dire, monsieur le curé a raison, je serais soulagé d’avoir fait ce que j’ai fait.

Je prends place, nous roulons jusqu’à des frondaisons sur le bord de la Sarthe, un banc est là et nous nous asseyons.

• Virginie, si jusqu’à ce jour, je ne t’ai rien dit, ne trouvant pas les premiers mots, je me suis confié à ce jeune prêtre qui m’a confirmé ce que je pensais depuis quelque temps, te dire toute la vérité sur ta naissance.
• Ma naissance ?...

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